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3 mois après le renversement de Gbagbo: Chérif, Wattao, Zakaria, Fofié… interdits chez Ouattara (La Lettre du Continent)

Dans son édition numéro 615 du 7 juillet 2011, la publication La Lettre du Continent, a révélé que les chefs de guerre de l’ex-rébellion armée sont «instamment priés de ne pas approcher armés, Alassane Dramane Ouattara». Il s’agit, selon le confrère, des commandants Chérif Ousmane, Wattao, Koné Zakaria, Fofié Kouakou, Touré Hervé dit Vetcho mais également Morou Ouattara. Tous ces chefs de guerre et leurs éléments qui font pourtant office de «forces publiques», en l’absence de policiers désarmés, à Abidjan, Yamoussoukro et dans toutes les autres villes, constituent aujourd’hui les Frci, la nouvelle armée pro-Ouattara. Des Frci fondées par décret du nouveau chef de l’Etat, Alassane Dramane Ouattara. Dans la prise de pouvoir de M. Ouattara, les chefs de guerre de l’ex-rébellion et leurs hommes armés ont joué un rôle important. Cela, depuis septembre 2002 à travers la mise sur pied d’une rébellion armée contre le régime Gbagbo, puis en avril 2011, en combattant aux côtés de la force française Licorne pour le renversement du Président Laurent Gbagbo. Vu toutes ces étapes, «l’éloignement » des chefs de guerre de l’ex-rébellion d’Alassane Dramane Ouattara pourrait être perçu par certains observateurs comme une «ingratitude».

Selon des sources concordantes, cette situation de «divorce» serait liée à la mise à nu des nombreuses violations des droits de l’homme qui ont émaillé la crise post-électorale. De nombreuses exactions dont les chefs de guerre seraient les auteurs et pour lesquelles, les organisations nationales et internationales de défense des droits de l’homme exigent des inculpations et des condamnations judiciaires au niveau de la Cour pénale internationale (CPI). Toujours selon ces sources, le chef de l’Etat, Alassane Dramane Ouattara, serait favorable à la comparution des chefs de guerre incriminés devant la CPI. Il en aurait d’ailleurs fait la promesse à la France et aux Etats-Unis. Voulant éviter toute «surprise» pouvant émaner de ces chefs de guerre, écoeurée par ces révélations, la sécurité de M. Ouattara assurée conjointement par l’Onuci, la force française Licorne et des soldats burkinabé, aurait pris la décision de tenir à l’écart Chérif, Wattao et les autres.

Dans son édition numéro 615 du 7 juillet 2011, la publication La Lettre du Continent, a révélé que les chefs de guerre de l’ex-rébellion armée sont «instamment priés de ne pas approcher armés, Alassane Dramane Ouattara». Il s’agit, selon le confrère, des commandants Chérif Ousmane, Wattao, Koné Zakaria, Fofié Kouakou, Touré Hervé dit Vetcho mais également Morou Ouattara. Tous ces chefs de guerre et leurs éléments qui font pourtant office de «forces publiques», en l’absence de policiers désarmés, à Abidjan, Yamoussoukro et dans toutes les autres villes, constituent aujourd’hui les Frci, la nouvelle armée pro-Ouattara. Des Frci fondées par décret du nouveau chef de l’Etat, Alassane Dramane Ouattara. Dans la prise de pouvoir de M. Ouattara, les chefs de guerre de l’ex-rébellion et leurs hommes armés ont joué un rôle important. Cela, depuis septembre 2002 à travers la mise sur pied d’une rébellion armée contre le régime Gbagbo, puis en avril 2011, en combattant aux côtés de la force française Licorne pour le renversement du Président Laurent Gbagbo. Vu toutes ces étapes, «l’éloignement » des chefs de guerre de l’ex-rébellion d’Alassane Dramane Ouattara pourrait être perçu par certains observateurs comme une «ingratitude».

Selon des sources concordantes, cette situation de «divorce» serait liée à la mise à nu des nombreuses violations des droits de l’homme qui ont émaillé la crise post-électorale. De nombreuses exactions dont les chefs de guerre seraient les auteurs et pour lesquelles, les organisations nationales et internationales de défense des droits de l’homme exigent des inculpations et des condamnations judiciaires au niveau de la Cour pénale internationale (CPI). Toujours selon ces sources, le chef de l’Etat, Alassane Dramane Ouattara, serait favorable à la comparution des chefs de guerre incriminés devant la CPI. Il en aurait d’ailleurs fait la promesse à la France et aux Etats-Unis. Voulant éviter toute «surprise» pouvant émaner de ces chefs de guerre, écoeurée par ces révélations, la sécurité de M. Ouattara assurée conjointement par l’Onuci, la force française Licorne et des soldats burkinabé, aurait pris la décision de tenir à l’écart Chérif, Wattao et les autres.

16 juillet 2011 - Posted by | Politique | , , , ,

2 commentaires »

  1. JE REFUSE QU ON TRAINE DANS LA BOUE LE VAILLANT COMBAT DE LA LIBERTE EN LA PERSONNE DE OUSMANE CHERIF QUI EST L UN DES SAINT SAUVEURS DES IVOIRIENSQUI ETAIENT CONDAMNES A VIVRE AVEC LA MORT.MEME SI L’ON INCAPABLE D’EMBELLIR L’ARICOT ROUGE AVEC DE L HUILE ROUGE IL FAUT TPOUT DE MEME LAISSER SA COULEUR INITIALE QUI EST ROUGE.PÖUR DIRE QUE SI ON NE PEUT PAS REMERCIER CHERIF PAR NOTRE MAUVAISE FOI,IL FAUT RECONNAITRE QUE CEST UN BON COMBATTANT.
    DOSSBILL

    Commentaire par dossbill | 25 février 2012 | Réponse

  2. il ya plusieurs manieres de lutter,defendre la cause humaine.pas forcement en endeuillant des familles.En eliminant des vies surtout des pauvres innocents,qu’on parvient à une vie excellente.Vous serez acclamés pendant un certain temps par ceux que vous avez « sauvés » mais vous finirez à la cpi.Vous serez rejetés par ceux pour lesquels vous avez lutté et vous serez injustement recompenses

    Commentaire par GNAHOUE TALMOU PIERRE | 22 novembre 2014 | Réponse


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